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  • Quelques FINE du Passé
    Ce document de 98 pages, rédigé en 1979 par Albert Fine (1904-?) est le point de départ de la construction de ce site.
    Le première partie du document décrit le briançonnais de 1300 à 1700 et évoque les FINE de Villard Saint-Pancrace, près de Briançon, dont est issue la famille. La deuxième partie est consacrée aux FINE de Marseille de 1700 à 1900, plus précisément de 1690, année d’arrivée à Marseille de Jacques Fine parti de Villard Saint Pancrace, à 1910, année du décès de Marie Ancey, épouse de Barthélémy-Albert Fine (1833-1899), parents de Xavier Fine (1876-1962).

  • Biographie de Charles Salles (1740-1812)
    C’est en 1765 que Charles Salles quitte la Martinique pour se marier et s’installer à Marseille comme négociant. La Correspondance permet de retracer les échanges entre les Salles de la Martinique et les Salles de Marseille. C’est peu à peu que nous reconstituons sa vie, extrêmement mouvementée, et le contexte politique et social dans lequel il évolue : le commerce esclavagiste de Marseille, la loge écossaise de franc-maçonnerie…

  • Affaire Blondel (1800-1837)
    Charles Salles à Marseille et son frère Louis à Bordeaux ont fondé une société de négoce Charles et Louis Salles et font affaire avec leur frère Jean-Baptiste à la Martinique. En 1800, Jean-Baptiste décède, laissant une fille, Lise, comme unique héritière. Lise, devenue épouse Blondel, a en fait hérité de dettes… et ne les rembourse pas. S’ensuit une bataille juridique qui se termine tragiquement par un duel entre les héritiers.

  • Vallon des Aygalades-Procès du Chemin du Cas (1850-1855)
    Du côté Fine à l’Hospitalière, Albert Fine (1807-1887) entame en 1850 un procès avec son voisin Salavy afin de conserver le droit d’usage du chemin du Cas qu’il emprunte pour aller au village des Aygalades. Les documents rassemblés pour ce procès permettent de bien reconstituer l’histoire et la géographie de la partie du vallon des Aygalades limitée par le village des Aygalades, la Viste et Saint-Antoine.

  • Les trois textes des filles d’Astros (1868-1869-1870)
    Barthélemy Strafforello (1764-1845) et Pauline Samatan (1790-1864) ont marié en 1830 leur fille Adèle à Charles Salles (1806-1874), en 1832 leur fille Constance à Albert Fine (1807-1887) et en 1846 leur fille Elisa à Louis d’Astros (1815-1905). Ce sont les filles d’Astros qui rédigent ces trois textes dont le troisième est une joyeuse partie de mer à laquelle participent les trois familles.

  • Journal de l’Hospitalière (1711-1985)
    Ce journal manuscrit de trois tomes relate la vie à l'Hospitalière (quartier de la Viste à Marseille), propriété de la famille Fine de 1711 à 1985. En fait, le journal lui-même est tenu de 1900 à 1929 mais plus de la moitié du premier tome est rédigée à partir de nombreux documents archivés ; quelques pages ont été ajoutées pour la dernière période jusqu’au décès de Gabrielle en 1983 dans sa 102ème année et à la vente de la maison en 1985.

  • Journal de la Sumiane (1884-1889)
    En 1884, Marie Ancey et Barthélemy-Albert Fine achètent La Sumiane, propriété séparée de l’Hospitalière par le ruisseau des Aygalades. Ce sont les filles aînées Louise, Noélie puis Marie qui rédigent le journal jusqu’à ce qu’elles « s’installent ».

  • Journal de Castel Bonnette (1908-1922)
    En 1908, Alfred Fine et Clotilde Ferrari s'installent dans la bastide qu'ils viennent de faire construire : Castel Bonnette. Ce journal retrace la vie de cette maison de 1908 à 1922. Les premières pages, rédigées par Alfred, retracent l'historique des maisons famililales du vallon des Aygalades.

  • "La libération de Marseille vue de l'Hospitalière", 1944, par Juliette Guibal, fille d'Alfred Fine et Clotilde Ferrari.